FRANCHISES D’ÉPILATION À LA LUMIÈRE PULSÉE : VERS UN ÉPILOGUE FAVORABLE ?

Le projet de décret gouvernemental ouvrant l’épilation à la lumière pulsée aux instituts de beauté est retardé. Tandis que les procès contre les franchises du secteur pour exercice illégal de la médecine continuent. Même si, ici ou là, certaines cours d’appel refusent de les condamner.

La bataille de l’épilation va-t-elle bientôt connaître son épilogue ? Une chose est sûre : annoncé pour le 1er juillet, le décret gouvernemental tant attendu par les esthéticiennes et les franchises du secteur aura du retard. Vent debout contre le texte, les dermatologues tentent en effet d’en empêcher la sortie ou, à défaut, d’en minimiser la portée.

Pour ces professionnels, il y va de la santé publique. Les appareils à lumière pulsée présentent à leur avis des risques sérieux de brûlures et de cancer, eux-mêmes étant seuls en mesure, en tant que médecins, de bien les utiliser et de dépister les mélanomes avant qu’il ne soit trop tard.

Au contraire, pour les organisations d’esthéticiennes dont la CNEP, la Confédération de l’esthétique qui regroupe aussi fabricants et distributeurs, les risques sont minimes et ne justifient pas l’interdiction qui leur est faite d’utiliser cette technologie… lire la suite de l’article sur Franchise Magazine

Lire l’article complet paru sur
Franchise Magazine le 15 juillet 2019